Lorsque quelqu’un prophétise, les autres doivent juger du bien-fondé de ce qui est dit (14.29) à la lumière des Écritures (par exemple les prophètes de l’Ancien Testament). Cependant, il ajoute que Paul est : Regardons attentivement le passage en question pour voir si cela est exact. Tous les juges qui sont mentionnés dans le livre des Juges sont des hommes, sauf Débora, la prophétesse, qui est l’exception à la règle. Elle avait sa place, renfermée dans la maison sous l'autorité de son père ou de son mari. Le fait que cette relation d’autorité et de soumission qui découle de Genèse 2 soit maintenue après l’entrée du péché se voit à de nombreuses reprises dans le reste de la Bible. La femme de ce Cantique ne cherche pas un homme qu’elle pourra dominer ou manipuler, ni un homme qui forcera sa volonté sur elle ou qui se servira d’elle pour satisfaire ses caprices ou son plaisir personnel. Plusieurs d’entre eux étaient des collaborateurs ou des compagnons de voyage de Paul. Leur ministère de prophétesses ne portait pas atteinte au fait que Dieu a confié à l’homme la responsabilité de diriger et d’enseigner, selon le principe d’autorité et de soumission fondé sur Genèse 2. Dans le cas des cinq autres, on rapporte leurs exploits militaires (Jg 3.10; 3.27-30; 7.19-22; 11.32; 14.19; 15.8,15; 16.30). Je n’exclus pas qu’il ait pu y avoir des Églises de maison, par exemple chez Priscille et Aquilas (« Saluez aussi l’Église qui est dans leur maison », Rm 16.5). Quelle est la place de la femme dans l’Église ? Pas plus qu’Adam n’aurait pu laisser sa place à Ève, lui qui a été tenu responsable de l’entrée du péché et de la mort dans le monde (Rm 5.12) parce que choisi pour être le représentant de la race humaine, puis appelé « la figure [le “type”] de celui qui devait venir » (Rm 5.14). Il y a aussi ces femmes qui ont servi le Seigneur Jésus et les apôtres à des moments précis ou même tout au long de son ministère : Marthe (Jn 12.2); Marie-Madeleine, Jeanne, Suzanne et plusieurs autres (Lc 8.1-3); Marie-Madeleine, Marie, mère de Jacques et de Joseph, et Salomé, la mère des fils de Zébédée (Mt 27.56; Mc 15.41; Lc 23.55-56). C’était un moment crucial dans le développement de la mission à partir de Jérusalem vers les nations païennes. Débora elle-même a dit : « On avait abandonné les villes ouvertes en Israël […] jusqu’à ce que je me sois levée, moi, Débora, que je me sois levée comme une mère en Israël » (Jg 5.7). Le verbe « laléô » signifie toujours « parler » en général. Nous aurions alors vraiment un Jésus faible et pitoyable. Toutefois, les femmes étaient respectées dans le plan de Dieu. L’auteur dit à ce sujet : « Le verset de référence qui établit une position de principe est Galates 3.28. Dans le service du Seigneur, la Parole affirme dans plusieurs passages que la femme a une part active. Deutéronome 16.18 dit ceci : « Tu établiras pour toi des juges et des magistrats dans toutes les villes que l’Éternel, ton Dieu, te donne, selon tes tribus; ils jugeront le peuple avec justice. Cependant, il ne dit pas qu’elles « bavardaient » ou dérangeaient pendant le culte. Cela ne veut pas dire que le principe de l’autorité et de la soumission est mauvais ou qu’il tire son origine du péché. Cette pratique se continue dans beaucoup d’autres généalogies tout au long de la Bible (Gn 25.12-16; 36.1-43; Ex 6.14-25; 1 Ch 1 à 9; etc.). La raison est qu’elles doivent faire preuve d’une attitude de soumission comme l’enseigne la loi biblique. Par ailleurs, diriger et enseigner sont les tâches premières du pasteur ou de l’ancien (1 Tm 5.17). Lorsque Paul encourage le mari et la femme à ne pas se priver l’un de l’autre afin de se réjouir ensemble et de ne pas donner à l’un ou l’autre d’occasion d’inconduite, il précise : Il est remarquable que, dans le domaine de la sexualité, l’autorité de l’un sur le corps de l’autre soit entièrement réciproque! Ce n’est pas parce que certaines femmes (une petite minorité) pourraient par exemple devenir pasteures qu’on a répondu à la question : Comment toutes les autres femmes chrétiennes peuvent-elles servir dans l’Église? Dossier « L’homme et la femme dans l’Église », Communautés et Assemblées Évangéliques de France, page 2 Le ministère féminin par Alfred KUEN Congrès des Églises CAEF 2001, publié dans la revue Servir en l’attendant, n°2, Mars-avril 2002. En tant que juge, Débora était un choix étrange et inusité, tout comme les cinq autres juges principaux. Genèse 5:2 « Il créa l'homme et la femme, il les bénit, et il les appela du nom d'homme, lorsqu'ils furent créés. Sur quoi ces affirmations sont-elles fondées? De l’entrevue réalisée par Pedro Rodriguez, publiée chez Palabra (Madrid), octobre 1967. » Je ne vois vraiment pas le lien logique (« donc ») qui pourrait exister entre le fait que Paul se trouve en prison à Éphèse (ou à Rome) et la supposition que les deux femmes à Philippes soient « probablement » deux responsables d’une Église de maison. De ces exemples, nous pouvons tirer des leçons sur les intentions divines pour les femmes qu’Il a créées avec un amour infini. La structure d’autorité et de soumission est maintenue après la chute, mais la femme conteste la place que Dieu lui a assignée et l’homme utilise de mauvais moyens pour exercer son autorité. Elles trouvèrent la grâce de vivre leur vocation conjugale et familiale devant Dieu et selon sa volonté. Ce sont des dons excellents que Dieu a faits à l’homme et à la femme avant la chute, dès la création du monde (Gn 1 et 2). Il y a cette étrange idée si répandue chez un certain nombre de chrétiens aujourd’hui selon laquelle ce sont les pasteurs et autres gens ordonnés qui « travaillent pour le Seigneur » ou qui « travaillent à temps plein pour le Seigneur ». Dans le Nouveau Testament, le Saint-Esprit n’est pas accordé de façon aussi limitée que dans l’Ancien Testament. Regardons d’un peu plus près la prophétie de Joël citée par l’apôtre Pierre et l’application qui en découle : La première chose étonnante à noter, c’est que le jour de la Pentecôte, aucun des signes mentionnés ne s’est manifesté (sang, feu sur la terre, fumée, ténèbres). C’est donc avec une certaine précaution qu’il nous faut comprendre les paroles de cette prophétie. C’est pourquoi « Son mari est considéré aux portes, lorsqu’il siège avec les anciens du pays. Ruth impressionna Booz par son travail et son dévouement (Rt 2) au point que celui-ci usa de bienveillance envers cette étrangère et exerça son devoir de rachat afin de la marier. C’est donc un verbe très commun. Permettent-ils de justifier que les femmes puissent exercer les mêmes ministères d’autorité et d’enseignement dans l’Église que les hommes appelés à ces ministères particuliers? C’est seulement sous la tête de l’homme que la femme est à l’image de Dieu…. Pensons par exemple à celle de juge à l’époque des juges qui a précédé l’établissement de la monarchie. Il n’y a rien de plus faux! Tous les chrétiens, hommes et femmes, sont appelés à travailler pour le Seigneur et à servir le Seigneur à travers leurs activités quotidiennes (études, maison, travail, service auprès des membres de l’Église, etc.). De même, Abraham n’aurait pas pu remplir le rôle important confié Sara qui a été appelée à devenir un modèle de soumission pour les épouses croyantes (1 Pi 3.6). Nous avons une première prophétesse à l’époque de l’Exode (Miryam), vers 1500 av. Les rapports de forces s’inversent de plus en plus, et l’avenir sociétal s’oriente drastiquement vers un monde à dominante féminine. Il y a des chrétiens qui reconnaissent volontiers que les femmes ne sont pas autorisées par la Parole de Dieu à exercer les fonctions officielles de pasteur, d’ancien et de diacre. Cependant, Dieu ne sème pas le désordre et la confusion dans sa création. Il est remarquable que, sous le régime du salut selon Galates 3.28, les garants de l’unité, de l’apostolicité et de l’universalité de l’Église soient tous des hommes! Pierre avait fait de même lorsqu’il s’était adressé aux 120 disciples pour choisir un remplaçant à Judas, alors que ce groupe était pourtant composé d’hommes et de femmes (Ac 1.16). Il est facile de suggérer une telle idée, il est moins facile d’en faire la preuve. C’est la raison pour laquelle le Sauveur du monde s’est incarné en homme et non en femme. Pourtant, tout au long du développement de cette promesse, c’est avec des hommes que Dieu a établi et confirmé son alliance et non avec des femmes. Quant au verbe « se taire » (« sigaô » en grec), il signifie simplement « garder le silence ». Les prophéties prononcées dans l’assemblée étaient sujettes à erreur et devaient être soumises à l’évaluation et au jugement des autres (1 Co 14.29-31; 1 Th 5.19-20) à la lumière de l’enseignement des apôtres (1 Co 14.36-38; 2 Th 2.1-3). Plusieurs autres textes confirment encore la présence de cette relation d’autorité et de soumission. » Dieu avait stipulé dans sa loi qu’il fallait nommer des juges dans chaque ville pour que l’autorité de ces juges en Israël soit exercée localement et non pas au niveau national. (Rm 13.1-7; Ép 6.1-9; Col 3.18-25; Hé 13.17; 1 Pi 2.13-19). Anne, par exemple, s’est présentée à Silo avec son mari pour adorer librement le Seigneur et lui présenter sa peine et sa requête (1 S 1). J’ai vérifié toutes les 288 références. Il est vrai que Paul invite les femmes, si elles veulent s’instruire, à poser des questions à leur mari à la maison (1 Co 14.35). Nous arrivons à l’exemple de Débora qui mérite d’être étudié en détail. C’est pour cette même raison qu’il a plu à Dieu d’établir son alliance avec Abraham et non avec Sara. Sa solution sera de restaurer l’homme et la femme par sa grâce en Jésus-Christ pour que les deux puissent à nouveau vivre dans l’harmonie à l’intérieur de cette structure d’autorité et de soumission qui est maintenue dans le Nouveau Testament, comme nous le verrons plus loin. Pas du tout! C’est cette relation particulière avec Mardochée qui amena Esther à présenter sa demande au roi Assuérus. Si quelqu’un prophétise, Paul dit ensuite : Paul demande donc également aux hommes de se taire dans deux contextes précis : quand un homme (ou une femme) voudrait parler en langues, mais qu’il n’y a pas d’interprète, et quand un homme (ou une femme) voudrait prophétiser, mais qu’un autre est déjà en train de parler. « Elle ne quittait pas le temple et servait Dieu, nuit et jour, par des jeûnes et des prières » (Lc 2.37). Le rabbin Eliezer disait que c'était … Tout était anormal à son époque. Citons encore cette exhortation de l’apôtre Paul aux femmes expérimentées dans l’Église : Ce texte nous permet en quelque sorte de boucler la boucle, depuis l’institution du mariage en Genèse 2 jusqu’aux bénédictions que le mariage et la famille apportent à l’Église de Jésus-Christ. À de nombreuses reprises, c’est Jésus qui « parle ». S’il n’est pas interdit aux femmes de prophétiser, il leur est cependant interdit d’enseigner ou de prendre autorité sur l’homme (1 Tm 2.12). Nous devrions plutôt chercher à saisir de quelle manière les différents passages des Écritures s’harmonisent entre eux, au lieu de simplement « éliminer » certains passages qui diraient le contraire des autres ou qui nous plaisent moins. Pour ce qui est de Phœbé, « diaconesse (ou servante) de l’Église de Cenchrées », selon Romains 16.1, on pourra consulter mon article intitulé Diakonos et diakonia dans le Nouveau Testament. Les disciples gardèrent le silence et ne racontèrent à personne ce qu’ils avaient vu et entendu lors de la transfiguration (Lc 9.36). Je réserve la discussion sur Débora pour un peu plus loin. Si le Seigneur avait voulu qu’une femme soit apôtre, il aurait appelé une femme pour être apôtre et il aurait fait en sorte que ce soit culturellement acceptable. Plusieurs femmes aujourd’hui sont encore de précieuses collaboratrices à l’œuvre de la mission, de l’évangélisation et de l’édification de l’Église, sans pour autant être des pasteures, des missionnaires ou des anciennes ordonnées. Pour une réflexion plus détaillée sur les rôles distinctifs du mari et de l’épouse selon Éphésiens 5.22-33, on pourra consulter l’article de Clarence Bouwman intitulé Direction et soumission, l’article de Douwe Agema intitulé Favoriser l’harmonie au sein de la vie familiale, ainsi que mes prédications intitulées Le Seigneur demande aux épouses chrétiennes de se soumettre à leur mari et Le Seigneur demande aux maris chrétiens d’aimer leur épouse. <> » L’auteur utilise ce texte pour affirmer ceci : Est-ce bien la signification de Galates 3.28? Ils prétendent tout de même que les femmes dans l’Église pourraient exercer en tout point les mêmes dons et appels que les hommes non ordonnés exercent. Même si les diacres n’exercent pas le même rôle de direction que les anciens, ils participent par leur ministère à la direction d’ensemble de l’Église (Ph 1.1; 1 Tm 3). Cela ne veut pas dire qu’il n’y avait pas de femmes remplies de l’Esprit et de sagesse dans l’Église. Depuis la chute, la femme a des grossesses pénibles et l’homme doit travailler le sol à la sueur de son front (Gn 3.16-17). Troisièmement, selon Galates 3.28, l’homme et la femme qui se repentent de leurs péchés et qui croient en Jésus-Christ sont tous les deux sauvés par pure grâce et sont tous les deux cohéritiers de la vie éternelle. En fait, les autres passages du Nouveau Testament déjà étudiés au sujet du rôle de l’homme et de la femme dans l’Église s’harmonisent tout à fait avec ces passages qui réaffirment le principe de l’autorité du mari et de la soumission de la femme dans le mariage. Elles ont tendance à s’écraser devant les hommes ou encore à vouloir dominer sur eux et à usurper leur autorité ou à s’en émanciper. Il nous faut donc exercer une même prudence dans l’explication que nous donnerons à la parole précédente : « Vos fils et vos filles prophétiseront. On a voulu faire taire l’aveugle de Jéricho qui implorait Jésus de le guérir (Lc 18.39). Parce que c’est l’homme qui est le chef et que la femme est connue par son mari et avec son mari, selon l’ordre créé, et non pas simplement pour des raisons culturelles ou circonstancielles. elle. Avant même qu’ils entrent dans la terre promise, Dieu avait déjà averti son peuple qu’il leur enverrait de tels malheurs s’ils devenaient désobéissants (Dt 28.1,13,15,29). Nous devrions être éternellement reconnaissants au Seigneur Jésus de s’être soumis librement à la volonté de son Père, car notre salut éternel en dépendait! Adam devait aller travailler dans le jardin pour accomplir la tâche que Dieu lui avait confiée, qui était de cultiver le jardin et le garder. Avant d’énumérer des exemples de direction masculine dans la Bible, il nous faut commencer au commencement, avec la création d’Adam et Ève et les rôles respectifs que Dieu leur a confiés. Cette section s’inspire du chapitre 5 du livre Recovering Biblical Manhood & Womanhood édité par John Piper et Wayne Grudem (Crossway Books, 1991), intitulé « Head Coverings, Prophecies and the Trinity », par T. R. Schreiner. L’utilisation d’Actes 2 par ceux qui préconisent le ministère pastoral féminin « prouve trop » et se retourne ainsi contre eux! La femme est créature de Dieu, la femme n’est pas un homme, la femme est à l’image de Dieu, non pas seule mais avec l’homme, ish et isha en hébreu, le feu et la flamme… l’un n’est rien sans l’autre et réciproquement. Le Seigneur se plaît à utiliser et à bénir le service d’hommes et de femmes qui louent son nom et qui parlent de lui aux autres, sans qu’ils ou elles aient besoin d’exercer un ministère officiel public. » Pourquoi le pronom est-il masculin? Voilà pourquoi également les hommes dans l’Église (ordonnés ou pas) ne peuvent pas faire tout ce que les femmes peuvent ou doivent faire. J.-C., qui a joué un rôle limité auprès des femmes, les encourageant à louer Dieu. Quel meilleur endroit que le temple pour servir le Seigneur par le jeûne et la prière! Il est vrai que l’entrée du péché dans le monde a dévasté la création de Dieu et a déchiré les relations harmonieuses que Dieu avait établies au commencement entre l’homme et la femme. 1 Timothée 2 est loin d’être le seul texte! Cette interdiction de 1 Timothée 2 n’entre certainement pas en contradiction avec le reste de la Bible, mais s’harmonise pleinement avec l’ensemble des Écritures. Certains paragraphes visent donc à réfuter le document évalué, tandis que d’autres cherchent à développer le sujet. Or, Paul dit ailleurs (Rm 1.24-32) que l’ordre de la création, c’est-à-dire la différenciation sexuelle, demeure toujours en vigueur et que, par conséquent, l’homosexualité est un péché. Cependant, étant donné que, dans les trois cas, il s’agit d’une révélation venant de Dieu, il est également correct de traduire par « parler », comme le fait la traduction à la Colombe. Elle exhorta et encouragea les femmes à chanter les louanges du Seigneur après que Dieu eut miraculeusement délivré son peuple de l’Égypte. Il est parfois employé pour désigner l’aide que Dieu apporte à son peuple (Ps 33.20; 70.5; 115.9-11). Aujourd’hui, notre contexte culturel est différent (le voile n’est donc pas nécessaire, si toutefois il s’agit bien d’un voile, car certains comprennent que le voile recommandé par Paul était simplement d’avoir une chevelure plus longue), mais de toute manière la même attitude de soumission à la direction masculine est demandée à la femme pour les mêmes raisons créationnelles. Par exemple, on dit que les femmes n’étaient pas assez éduquées à cette époque, ou bien qu’elles avaient été séduites par de faux enseignements à Éphèse, ou bien que les hommes n’étaient pas prêts culturellement pour un changement et qu’une direction féminine dans l’Église aurait offensé les gens de leur époque. Parce que l’Église est "Marie" avant d’être "Pierre", la place de la femme dans l’Église est première. Elle prend l’initiative de la relation. Le ministère de ces quatre cas isolés a peu de choses en commun avec la nature, l’autorité et l’étendue du ministère des prophètes masculins tout au long de l’Ancien Testament, tel que l’ont exercé Moïse, Élie, Ésaïe, Jérémie, Malachie et les autres. Nous n’avons pas le droit de mettre de côté un texte biblique sous prétexte que plusieurs autres passages de la Bible diraient le contraire. Il n’en est rien! Ce sont encore les hommes, dans la généalogie du Sauveur, qui représentent et incluent leurs épouses. Dans la pensée biblique, les rôles de l’homme (ordonné ou pas) et de la femme ne sont pas interchangeables, ce sont des rôles distinctifs et irremplaçables. Ève a été créée pour être une aide auprès d’Adam; Adam n’a pas été créé pour être une aide auprès d’Ève, il a été créé pour être le chef. Elle prit la liberté de répandre sa peine devant Dieu et même de faire un vœu à l’Éternel (1 S 1), alors que la direction masculine de l’époque en Israël était plutôt insensible à sa peine (Éli qui pensait qu’elle était ivre) ou carrément incompétente (les fils d’Éli qui étaient des vauriens). C’étaient des évangélistes, des pasteurs et des enseignants qui ont prêché publiquement l’Évangile avec les apôtres et qui ont établi des Églises dans différentes villes autour de la Méditerranée. Elle se doit de parcourir du regard le monde et transmettre aux fils et filles les traditions de la Bible qui confessent la présence du Ressuscité et … Il peut y avoir certains passages qui, à nos yeux, semblent se contredire parce que nous ne les comprenons pas bien ou parce qu’il nous manque des éléments de réponse, mais nous devrions toujours aborder les Écritures saintes avec le présupposé selon lequel la Bible ne se contredit jamais. Dans cette histoire, c’est la femme qui prend l’initiative et qui lance à l’homme l’invitation : « Qu’il me baise des baisers de sa bouche!

Diy Cnc Router, La Bête Meaning, Ziggy Prénom Fille, Coque Portefeuille Personnalisable Samsung A20e, Laura Animal Crossing Anglais, Centre Dépistage Covid évry Sans Rdv,